Recherches culturelles

     Histoire de Bantè 

Les isha d'origine Ilétcha constituent le groupe le plus important et le premier à s'installer sur le site actuel de Bantè. Ils représentent avec les Ifê, une partie de l'ancien peuple Yoruba du Nigéria qui a opéré les mouvements migratoires d'origine Ilé- Itcha, Oyo et Ilé-Ifè. Les noms de deux emblématiques chasseurs Obinti et Ogbéa puis celui du guerrier Odji tiennent une place de choix dans les histoires respectives de ces vagues migratoires qui avaient pour cause des guerres de conquête à but esclavagiste, des razzias ou encore des conflits nés d'une succession au trône.
Aux environs du XIV siècle, le pere chasseur Obintì a quité Nigéria     et logé à Adjantɛ. Dans sa campagne  de la chasse,il se rendit dans ce lieu appelé kotogbo okúta. La, il decouvrit les habitants qui se refugeaient dans le temps sous les epines communement appelé ɛ̀wɔn.  Aucours de leur  conversassions avec le chasseur ils laissairent entendre: “À jɛ ndì ye a si ni” litteralement  traduire “on a bouffé tout ce lieu” qui devient plutard le nom du quatier Jɛdia. Ce père chasseur se renseignait s’il y avait  d’autre habitants qui vivaient le lieu. A  la  reponse affirmative,ils lui indiquaient un autre groupe qui vivait sous la colline. C’est alors que le chasseur  se rendit sur les lieux et  les trouva , enfants  enfermés et gardés dans les grottes. Curier, le chasseur chercha a comprendre raisons. Les habitants lui faisaient comprendre que les enfants sont caché par  craintes d’un certains oiseaux  prédateurs qui venaient à tout moment les capturer, et ajoutèrent qu’ il se pourrait que les dit oiseaux leur suprenne sur les lieux . Oiseaux! S’etonna le chasseur qui a due attendre et vu de ses propres yeux les prédateurs. Il prit en suite congé d’eux  tout en leur fixant sa prochaine venue,le temps pour lui de  bien s’equiper pour la  chasse  des prédateurs.
Le jour venu,très tot le matin,le père chasseur  se rendit sur les lieux menu de son arme: akatakpo, un genre d’arc à flèche mais plus renforcé dans son systèeme et à décrocher comme à un fusil. Alors le chasseur demanda qu’on lui mette un enfant sous un panier et qu’il soit recouvert par des bussons  et qu’ à sa suite il se deguisera et se cachera  à un lieu non loin et attendre pour sa mission, et ils fuent ainsi. Soudains survint l’oiseau  qui rodait autour de sa proie quand le chassseur fondit son arc sur lui et le tua. Le chasseur etait encore là quand le second oiseau venait et l’a aussi capturé par ce qu”ils etaient deux.
Content pour sa bravour, les habitants decidèrent faire de leur liberateur le roi en commun accord  avec les habitants de Jɛdia. Le nouveau roi devrait d’abord se rendre chez lui à Ajantɛ et prendre congé de ses habitants avant de revenir. Alors avant leur disperssion des lieux,ils lui demandèrent d’indiquuer selon son choix  un endroit où desirerait faire  sa residence pour qu’ils puissent lui dresser son habitation. Ainsi pour l’indiquer, le roi dit “Ḿbi í à tɛ̀ ɛ” qui veut dire “le lieu où on a pietiné” qui deviendra plutard “Bantè” contrairement à “ɔba ni tɛ̀ɛ” comme beaucoup le pretende  par ce que tous les lieux environnant etaient de lacs. Cette indication  du roi est toujous gardée pour designer  le village ou la dynastie  du roi  Obínti. 
De  meme père Bɔba lakete et de meme mère Olobì, Obiti et Oloukpe sont des freres : Obinti etaient le premier roi de Bantè pendant que son frere etait le fondateur de Kaago, un village detruit au temps des guerres. 
Bantè est limité dans la commune par les villages : Adjantè,Bobe ,Akpassi,Lougba et Koko. On compte aujourd’huit plusieurs quatier à Bantè jɛdia  étant le premier ,Ilelakoun suit ,aprèrs  jolate, monkon etc.Ces quatier sont installés l’un apres l’autre dans les temps.
Aujourdhui,la royauté releve de la seule  lignée du roi Obinti. Le  droit de prince devient la toute premiere condition d’accession au trone.Toute fois,en cas du décès du roi  quelqu’un d’autre que  de la lignée peut assuré l’interim jusqu’ à  nouveel ordre. Au sein de la lignée royale, existe plusieur familles elligible. De ce fait,le reigne   devrait  etre  entre ces differentes familles  et à tour de role. le prétendants au trône royal doit s’armer beaucoup de courage en cas d’eventuelle  deception de la pârt de ses siens apres l’intronisation .Celui ci doit jouillir  d’un bon temoignage moral et social.
       Bante et les villages environnant etaient victimes des ravages repetés de guerres des Dahomeens. L’ideale etait  de s’unir entre eux pour former une grande force ,capable d’affronter l’ennemis.D’ou les alliances de pacte de terre. Entre temps, le roi Glèlè de Dahomey envahissait les villages, les attaquait et leur exigeait de tribut jusqu’à  la moitié de leur revenu, ce qu’ils ne lui cedèrent guère.L’envahisseur dans  ces temps,decida  d’enlever un  roi de Bantè de son trone pour l’amener à Dahomey. Mais celui ci affiche son refus categorique et affirme qu’il préferait mourir  dans l’hnneur que  de choisir aller vivre dans l’humiliation: ce qui lui a couté la vie.Cette traite des habitants de Bantè continue jusqu’il ya eu un successeur . Celui ci decida d’aller faire face à leur terroriste,le roi du Dahomey. 
Il faut noter que la guerre des Dahoméens surprend toujours les habitants de Bantè puis qu’on ne leur avertit de rien comme à la règle normale des principes qui régissent les guerres : les guerres normalement s’annoncent avant les attaques. Le rendez-vous d’affront entre Bantè et les armés SINANDE a occasionné un pacte car c’était en pleins affront qu’ils se rendirent compte qu’ils étaient tous les Anago contrairement à ce qu’ils avaient appris : les SINANDE assimilaient les habitants de Bantè au Fon. Les ahabitants de Bante étaient souvent attaqués à 3h du matin. Leurs envahisseurs bénéficiaient aussi des aides des espions qui leurs précédaient même des années en avance attaques. Ceux-ci prenaient le soin de maitriser les points faibles du milieu et ses habitants en raison du caractère hospitalier de la population qui prennent tout le monde pour frère. 
En effet, pour faire face au destin de sa nation, le roi se rendit mystiquement à Dahomey par un moyen magique connu sous le nom « Abosu ». Ce moyen permet de passer sans que personne ne s’aperçoive de toi. Ainsi malgré toutes les dispositions de surveillances et de barricades du palais et des tronçons qui y mènent, le roi parut déjà très tôt dans une matinée devant le roi Glèlè  à l’insu de tous les  gardes. 
Alors celui-ci s’étonna et lui demanda « mais comment tu es venu ? » et le roi répondit « Mi laa wuu wa bi ni » qui veut dire J’ai traversé la brousse jusqu’ici. Celui-ci sera surnommé par sa réponse LAWUU JAANA ce qui devient au cour des temps LAOUROU.  C’était lui qui signa le protectorat avec le roi du Dahomey et les a aidés dans plusieurs de leur guerre parmi lesquelles on mentionne la guerre avec les ATTAKPAMEY. Il décida ensuite de revenir à Bantè sous l’entente de ce qu’il ne sera plus victime d’une guerre venant des Dahoméens. De son retour, il revient avec les NDENU qui serviront de messager du roi de Dahomey auprès du roi de Bantè. Et c’est pourquoi ils se situent en face du palais royal jusqu’à ce jour. À bantè, la famille LAOUROU est la famille la plus influente, depuis des temps la population la servait. Et même, elle reconnut au-delà de la commune, dans les régions du Togo et ailleurs. Depuis sa création jusqu’à ce jour, Bantè n’a connu que son onzième roi. Toutefois, l’assassinat d’un roi par les Dahoméens fait que les gens n’aiment pas le compter parce que cela rend triste. Ainsi on a les rois : Obiti ɔmɔ ɛyɛ, Akaku, Kanukpe, Toffa, Tognon, Gbesɔ, Gbegnon, Dignon, Gbeffon et Adéfu-nlutou, l’actuel roi. 
Autrefois, les habitants de Bantè vivaient de l’agriculture, et produisaient de l’igname, le maïs, le sésame, le mil (tchakpao) qu’ils commercialisaient sur le marché d’Annie au Togo.  De leur retour du marché, ils se procuraient du sel, de moutarde et autres. Ils étaient également des chasseurs et se formaient (surtout les jeunes gens) pour les cas de guerres, les attitudes d’auto défense, la manière de manier les armes. 
En ce qui concerne leur culte, ils honoraient les cultes endogènes. Une fois le village fondé, un messager sera envoyé par le roi au temple principal qui se situe vers la frontière Togo Ghana et Burkina pour être initié à un fétiche que l’oracle choisira après consultation. Ces messagers voyagèrent à pied par manque de moyen et cela pourrait prendre au moins 3 mois. Les personnes jugées sorcières ne s’y rendaient pas si non elles mourront. Ce fétiche fera désormais l’objet d’adoration des habitants du village et sera protecteur et défenseur de la population contre les pestes, les maladies et autre maux. La réussite de ce pèlerinage d’environ 6 mois fait du messager « onibuku » littéralement dit « le propriétaire du fétiche car il a été envoyé pour suivre les rituels de ce fétiche. Dans le cas de Bantè, c’est NONON ODODO (le tout premier culte de la population de Bantè). Ce fétiche recommandé prendra quelqu’un qui sera sa femme (Nonon), ensuite les personnels qui seront à son service. Mais de nos jours, les gens ne s’y intéressent plus dans le milieu comme ailleurs.
Dans la liste secondaire des objets d’adoration, on a aussi le fétiche OGOU. Chaque famille à Bantè a ses rites et fétiches, mais le OGOU unit toute la population quoi qu’en soit son opinion religieuse.
On rencontre à Bantè lors des cérémonies les danses ogou qui souvent se font suite à un acte de bravoure de la chasse (le cas de capture d’un gros animal par exemple). Après était venue la danse AChOKI qui est remplacée par AGBADJA plus tard. Mais en réalité, les rythmes ne sont pas les mêmes. Outre la danse Gbadja venue des ewe, On a aussi les danses Nji, Abéné, Agbe,  Waya qui précédait Akoto et tout récemment  était venu la danse Guèlèdè. Akoto a pris la place de waya dont les chants étaient entonnés par deux personnes, un homme et une femme qui se rivalisent dans les jeux de  mots au rythme de la danse. C’était une danse pour honorer les hauts cadres et les personnes à statut social distingués. Les pièces de monnaie étaient tissées au tour d’un plat qui raisonne à un rythme assez intéressant.
La composition des chants par les artistes prenait source des sujets de méditations ou des réflexions les plus profondes soient suite à un malheur ou d’une mort. A cause du caractère de reconnaissance de la valeur humaine de notre culture. Les danses et les chansons viennent apaiser des cœurs attristés qui pourraient amener des gens à se donner la mort s’ils manquaient de l’assistance.
Lesdites chansons sont très courts mais assez profonds et bien médités. Cela pourrait aussi évoquer les sujets de joie soient un bon rendement des produits des chants, des nouveau nées, de femme ou de concubine.
Bantè était aussi riche dans les œuvres d’arts, mais emportés par les Dahoméens, il y avait des familles spécialistes des œuvres d’arts qui fabriquaient des ceintures, des chaussures, des pagnes, des couturières spécialistes des culottes, les objets d’art en bois, en fer (forgerons) non seulement ces objets étaient emportés, mais aussi les artistes pour Dahomey lors de leur conquête.

 


             Le roi ou la royauté

Un roi est celui qui règne sur un peuple, un État, en particulier un État monarchique, et qui tient sa fonction de l'hérédité ou de l'élection ; celui qui est à la tête d'un royaume. Comme l'indique le nom en langue Ncà : banlɛ qui signifie ɔba nlɛ ce qui veut dire le roi ou chef de terre. Dans la communauté Ncà, les rois sont des chefs terrain à la tête de leur royaume. La famille royale relève de l’histoire, des autochtones, les premiers à s'installer dans le milieu. En milieu Ncà, on peut retrouver des rois contrairement à l'explication ci dessus, mais ceux-ci ont eu le pouvoir confié par les autochtones. De par le passé, les autochtones avait confié le pourvoir au non autochtones suite à leurs actes héroïques ou de libérateur d'une guerre qui allait fait ravage de ces autochtones. c'est en guise de récompense que les autochtones avaient confié le pouvoir de gouvernance à leur libérateur. Ainsi les deux familles s'allient pour une alliance mutuelle et perpétuelle de leur position et se doivent de respect les uns envers les autres. Dans ce cas, les familles autochtones intronisent les rois et l'autre pour règner. Par contre, dans les royaumes où ce n'est pas le cas, la royauté est conservée au sein de la seule famille et gère le règne (oye) et l’introniseur (afɔbajɛ) entre eux. En effet les rois Ncà sont élus en raison de leurs acquis historiques des réalités socioculturelles de leurs royaumes. Ces acquis seront transmis du père aux fils et de générations en générations dans le but de maintenir la famille au poste royal. Au pays de Pacte de Terre chaque village est sensé avoir son chef terrain et selon l'organisation de chacun de ses villages. Pour chaque village le trône est un grand héritage de la famille. Ce n’est pas un héritage à une seule lignée pour être hérité à la manière du père à son fils ou sa fille et pour des générations à venir, mais à partager d’une manière cyclique d'après le nombre de femmes ayant donné enfants au père fondateur ou le premier roi du village. Il revient  à la lignée de chaque femme de choisir un digne représentant en leur sein pour le faire roi lorsque leur tour arrivera. Les critères de choix de ce dernier doit reposer sur sa sociabilité, loyauté, l'honnêteté et d'autres valeurs morales en accord avec sa famille. Pour d'autres, il faut aussi que ce prétendant ait une famille maternellement nombreuses.
Par ailleurs en mille Ncà, la royauté concerne bien des hommes aussi bien que les les femme. La différence est que ces dernières ont droit au trône mais elle ne règnent pas comme les hommes. Au cas où une femme devrait prendre la chefferie sur le territoire, elle doit se faire représenter par un homme de son choix. Celui-ci peut être paternellement ou non lié à la famille royale: il règne au nom de la femme soit sa mère ou autre cas de parenté.
Afɔbajɛ
Les “Afɔbajɛ” sont des hauts personnels de la société gardant les secrets de la royauté. Ils sont des conseillers dans la tradition qui s'occupent des affaires de l'intronisation. En milieu Ncà, on y rencontre selon les recherches deux formes de ces gens: une forme interne de la famille royale et l'autre externe de la famille royale. Les afɔbajɛ à l'interne de la famille royales ont aussi les descendants des autochtones du royaume qui domine sur le territoire. De la même famille, les vieux sages s'occupant de l'organisation des affaires de la royauté et conduisent le nouveau roi jusqu'au trône. Ils jouent dans leur rôle, le maintien de la paix et de maintenance de l'ordre dans l'affaire. Les Afɔbajɛ dit à l'externe la famille royale sont des familles spécialement établie pour assumer la responsabilité de l'intronisation des rois. Ils représentent dans certains villages du pays des Pacte de Terre les premiers à installer et confèrent le trône à d'autres personnes. Mais quant eux, ils acceptent garder le pouvoir afɔbajɛ car pour eux, ils sont les chefs terrain et tout doit être soumis à leur autorité. De tout ce qui précède les afɔbajɛ sont les gardiens de la tradition qui maitrisent dans tout les cas les secrets des rituels qui s’observent dans le processus de l’intronisation et les affaire de la royauté.
Le choix et l’intronisation des rois en milieu Ncà
La question du choix et l’intronisation d’un roi en milieu Ncà est aussi complexe que cela exige des vérification bien définie et approuvée par sa société jusqu’au niveau du grand roi. Ainsi avant l’intronisation de tous les rois des Ncà, toutes les familles royales concernées du village sont convoquées à une grande assise au palais central en présence du grand roi et ses conseillers à Bante. Pour la grande assise, il sera interrogé par le grand roi de comment ils régnaient; le partage de la royauté; le point présents du règne pour pouvoir déterminer celui qui doit suivre. Pour une autre nouvelle foi, l’assise sera convoquée pour le même cause, afin que le grand chef ait l’éclaircissement sur les bien fondés des informations qui donnent accès au trône des concernés d’après leur ordres de succession préétabli: le nombre de lignées en question, l’ordre suivi, le dernier intervenant et qui doit suivre. Ainsi pour une trois énième fois, le digne successeur à présent sera demande d’être porté élevé par ses siens après que le roi lui a versé le sable sur la tète. Après quoi on ramènera celui-ci dans son village pour être enfermé dans le palais royal ou il passera neuf jours et neuf nuits, ou il va suivre des rituels et des cérémonies. Pendant ce temps, les invites de la cérémonie seront servis. C’est ce qui fait qu’on observe lors de ces périodes, les éléments qui circuleront dans le village et capturer les animaux; les males, avec les quels les invites seront servis. Durant les neuf jours, la cour royale sera animée par des danses et des réjouissances festivals au son des tam-tam Gamato, les tambourin les gong et autres manifestations culturelles. Mais le roi à l’honneur sera enfermé à l’intérieur avec les tètes spécialisées de ses rituels. Au terme de ce temps, le roi sera présenté au public par une cérémonie publique dénommée owogugu. Elle consiste à faire marcher le nouveau roi sur les coris; sur quoi il va prêter serment au peuple de leur rester fidèle. L’ensemble de tous ces rituels font élection d’un roi en milieu Ncà. Au cas contraire, personne ne peut accédé au trône de façon formelle.
Apres leur intronisation, les rois en milieu Ncà pour leur faire honneur, la société leur fait choix d’une jeune femme très belle et présentable (abiton). Ce choix au roi consiste à prendre dans sa société une jeune femme non mariée et la présenter au roi. Si celle-ci consent avec sa majesté alors elle devient la femme au roi. Dans le cas contraire, le mariage serait renoncé .Toutefois, il faut souligner que cela ne fait pas cas d’une obligation ni au roi ni à aucune jeune femme dans la société .
Outre  cela , les sage et chefs des cultes endogène donnes un nouveau nom  royal au roi élut. Ce nouveau nom que portent les rois en milieu Ncà est composé majoritairement des proverbe ou des prières pour leur règne. 
Les rois en milieu Ncà sont respectés par la société. Les communautés sont obligées à leur obéir pour faciliter la responsabité qui leur est confiée. Ainsi pour leur témoigner l’assistance, ces communautés leur sevrèrent selon leur moyen à travers des dons et des aides dans  de leurs activités. Ainsi toute la famille royale( les ɔmɔ ɔba ,les aya ɔba ) et les cadres du palais royal sont classés  au premier rang dans la société. Les rois en milieu Ncà n’ont  seulement que des droits mais aussi des devoirs dans la société. Ils sont donc appelés à veiller sur le maintien de la paix et de la sécurité de leur peuple avec justice et dans l’éthique. 

Recueillie par l'équipe de traduction auprès de sa Majesté ADEFOULOUTOU,  roi de Bantè
 

Partager

Votre encouragement nous est précieux

Vos témoignages contribuent à rendre possibles des sites web tels que celui-ci.